Le fétichisme des crachats

Cette jolie brune aux yeux verts me rappelle Justine, une connaissance de fac dont j’étais devenu le confident suite à nos heures de travail à la bibliothèque universitaire. Bien entendu, elle ne couchait qu’avec les mâles alphas, des étudiants populaires et beaux gosses. Elle n’ignorait pas mon pucelage et m’invita un soir à me soumettre à l’un de ses plans culs du moment. Mathieu, un étudiant en histoire de l’art passionné par les étudiantes à la plastique avantageuse et coutumier des sessions baise. Elle me crachait abondamment à la gueule tout en lui offrant une fellation magistrale. Mathieu lui a projeté une volumineuse semence en pleine poire et sur la langue. Paroxysme de l’humiliation : elle partage cette salve du mâle dominant en en crachant une moitié sur mon pif et l’autre sur mon sexe. Un masque de soumission constitué de mollard et de sperme, l’humiliation idéale.

Les mâles alpha jouissent d'un pouvoir pouvant aboutir au partage de leur précieux attribut par une gent féminine en transe. Dans certains clubs, des copines célibataires, ou des femmes mariées peu rassasiées par leur vie de couple routinière, ou simples curieuses, se retrouvent au milieu d'orgies léchatoires. Un strip-teaser se fait sucer la queue par une kyrielle de femelles endiablées, toutes acquises à son bel organe.

En une soirée l'heureux élu aura le privilège d'être pompé, léché, chatouillé par une trentaine de langues frénétiques, un palmarès que beaucoup d'hommes ne se targueront pas d'avoir en fin de vie.

Un festin lingual s'empare de son chibre, et la capacité de ce professionnel à contenir la sauce est impressionnante.

Étudiante sérieuse, mère de famille, chef d'entreprise responsable, employée modèle se transforment lors de telles soirées en succubes, véritables carnivores du sexe mâle.

Une situation analogue se produit quand Xavier est l'objet d'une expérimentation de trois copines trentenaires libertines. La fellation partagée, ultime satisfaction de tout mâle dominateur. Plusieurs jolies bouches au service du plaisir d'un seul mâle. C'est par l'intermédiaire de Sophie, une cinéaste bohème qu'il a baisée à maintes reprises chez moi qu'il fait la connaissance de Valérie, journaliste au tempérament énergique et Sonia, architecte au regard mystérieux presque mystique.

Passées les coutumières présentations salivaires de votre serviteur, elles attaquent copieusement le sexe de Xavier. Valérie mordille délicatement, enjouée et souriante et me largue un magistral crachat entre deux léchées. Son regard de braise assorti à l'acte dégradant qu'elle m'impose augmente furieusement mon excitation. Je ralentis les mouvements de mon poignet afin de pas jouir trop vite. Sonia est experte en grand coup de langues passionnés, elle enrobe la totalité de la base jusqu'aux points les plus sensibles du gland. Ces zones particulièrement érogènes font l'objet des coups de langues saccadés de Sophie qui n'oublie pas de chatouiller les bourses. Leurs yeux gourmands et conquis admirent le visage satisfait de Xavier. La salive peppermint de Sophie s'abat régulièrement sous mes narines en pleine activité fétichiste, tandis que le travail acharné de fellation offre à Sonia une haleine de sportive haletante et un bon débit salivaire dont je profite pleinement. Je m'allonge sur le dos pour apprécier et subir la scène de dessous, ça dégouline sur mon visage pendant que la bite de Xavier est âprement disputée.

Il leur fait signe de s'interrompre un instant pour m'envoyer un mollard en pleine gueule. "Notre crachoir se dessèche !" lance t-il en provoquant les rires moqueurs de ses belles lécheuses. Une marre salivaire formée par trois femmes et un homme jonche désormais mon visage. Sophie me fait le signe du looser avec ses doigts en m'envoie une rafale de crachats. Le mâle alpha décharge sur leurs jolis visages et dans leurs bouches gourmandes. Sonia avale tout et pompe les moindres gouttes. Sophie et Virginie en expulsent une moitié avec dédain dans l'amas de salive qui recouvre ma face et également sur mon sexe : une manière très symbolique de rappeler son rôle. J'aurai donc eu droit à leur précieuse salive sur mon sexe, mais sans contacts directs bien sûr, et avec la semence du mâle supérieur pour marquer sa propriété.

Pendant la demi-heure qui va suivre, ils m'assoient sur une chaise et les quatre visages s'approchent à quelques centimètres du mien. Un festival de crachats va m'ensevelir complètement le visage et le haut du torse. ça dégouline sur mes oreilles, mes paupières, dans ma bouche. Ils se penchent à tour de rôle pour m'en expulser dans les narines. "t'as le look coco !" me lance Sophie. "Ce looser vient de jouir dans notre bave ! ah ! ah !" répond Virginie au moment où je lâche ma deuxième salve de plaisir.

Les parties intimes des belles femmes de ce monde demeurent inaccessibles pour le soumis. La pénétration de leurs sanctuaires est un privilège réservé aux vrais mecs, aux mâles alpha charismatiques. Même en fantasme, il ne faut espérer que les restes de festin sexuel accordés par ces dames. Elles jouissent sous les étreintes et chevauchées de leurs hommes et nous gratifient parfois de leurs sécrétions. Une culotte imbibée de cyprine mêlée au sperme de l'amant du jour est une compensation qui ne se refuse pas. Si peu qu'elle soit imprégnée de crachats, voilà un excellent tissu à frotter contre le visage du soumis.