Un discours à écouter le visage placé sous l'orateur :)
Une nouvelle émission de télé-réalité a été dévoilée il y a quelque temps sur la chaîne TF6. "Les puceaux passent à l'assaut", c'est ainsi que se nomme ce nouveau docu-fiction où les protagonistes vont être coachés par Ariane Brodier pour réaliser des conquêtes féminines.
De mon point de vue de puceau fétichiste et soumis, l'idée d'action ou d' "assaut" est incompatible avec ma nature. Je ne cherche pas à séduire les filles, mais à subir leur humiliation. Les roulages de pelles et fucking parties sont la chasse gardée des mecs fonceurs et ambitieux. Certains puceaux sont en revanche conçus pour le rester et passer à la douche de crachats des belles gosses !
La belle Ariane Brodier, fantasme de l'émission, engendre une ébullition chez une multitude de sexes de puceaux.
Parmi les tranches de vie qui composent mon univers fétichiste, la mode du crachat au sein des attroupements de djeunz est une aubaine pour moi. Je bande bien plus en observant des groupes de mecs et de filles décorer les trottoirs avec leurs crachats que pour des nanas à poil. Le rituel clope crachat des jeunes adultes m'excite d'avantage qu'un film porno. Quotidiennement, j'observe ces scènes où chaque protagoniste joue un rôle social en s'affirmant au sein du groupe. La petite moue sexy de la belle gosse fashion avant de lâcher son projectile contraste avec le mouvement de torse saccadé et imposant du mec qui accompagne le crachat. Un mouvement de tête vers l'arrière, ils soufflent leur fumée de manière inspirée et déposent leur production buccale sur le sol. Vient alors le moment tant attendu de la récolte. Les mares, les glaviots, les ronds de salive dispersés, toutes leurs sécrétions sont méticuleusement prélevées pour venir honorer mon visage, la mousse parfume mon museau, le pourtour de mes narines est orné par leur salive. Je donnerais n'importe quoi pour être allongé à leurs pieds pendant leurs scènes quotidiennes.
Le soleil parvient difficilement à poindre, mais qu'à cela ne tienne. L'ambiance estivale disparaît progressivement mais les jolies vacancières et beaux estivants ne perdent pas leur bonne habitude qui consiste à arroser le sol de crachats.
Les arrêts de bus et les divers murets de la ville sont littéralement pris d'assaut pour la très sociologique pause-clope avec les pots. Les rituels reprennent, à commencer par le marquage territorial salivaire. Si on devait compter tous les recoins de la ville qui sont quotidiennement transformés en marres par les lycéens et étudiants !
Ma personnalité et mon rapport aux autres individus conditionnent probablement en partie ma recherche du plaisir dans les pratiques fétichistes. Des collègues de boulots, des gens que je croise dans la rue, de toute cette faune que j'admire secrètement naissent mes fantasmes quotidiens. Individu timide, de nature soumise, et souvent effacé face au charisme des êtres qui m'entourent, je ressens ce besoin d'être humilié sous les crachats de tout ce monde. Ma virginité contribue également à ce sentiment d'infériorité : il n'y a rien de plus fort et de plus symbolique pour un puceau que d'être allongé, le visage prisonnier sous les assauts salivaires d'un homme aux multiples conquêtes. Sa bouche, instrument de séduction par la parole et de plaisir par le french kiss qui succède, se transforme ici en un véritable canon d'humiliation, un instrument de domination par les crachats.
Illustration : un rebelle à la langue conquérante que j'aimerais sentir tournoyer au dessus de mon visage soumis.
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