Le fétichisme des crachats

Réflexions d'un fétichiste de la salive en cette Saint-Valentin solitaire sur les organes symboliques à humilier.

La bouche et la langue. Pour un soumis fétichiste, ces organes relatifs à la communication sont des cibles de choix pour accueillir les crachats. Pusillanime et non entreprenant, il s'en sert peu pour s'exprimer, et pas du tout pour conquérir et embrasser. En revanche, elles sont idéales pour son ressenti dans la soumission. Le mâle alpha dominant, séducteur et fornicateur peut les bombarder à loisir de sa salive. Les lèvres jonchées de bave sont une porte d'entrée qu'il s'approprie. La langue et le gosier deviennent par suite pénétrées et violées par ses salves.

Le nez, capital pour le ressenti olfactif d'un mollard qui trône sur le museau est également une porte d'entrée symbolique. En emplissant les fosses nasales du soumis avec sa salive, le mâle alpha pénètre et insémine sa production buccale comme il le fait avec son sperme dans un vagin. Quand il réalise cet acte, son visage est tellement proche que l'excitation est à son paroxysme. Le soumis observe, dans un état d'extase et d'admiration l'intérieur de la bouche de son dieu et les mouvements de lèvres, langue et mandibule aboutissant à l'expulsion humiliante de ses crachats.

Les organes génitaux sont naturellement l'ultime zone symbolique abandonnés au mâle dominant. Un sexe puceau ou délaissé par la gent féminine sera idéal pour être recouvert de crachats masculins, sous les yeux amusés et les rire moqueurs de ses conquêtes.

Un beau couple, le beau gosse idéal pour mettre en pratique l'humiliation salivaire de mon corps pendant qu'il baise sa jolie conquête.

Le sexe d'un mâle alpha, un train de vie opposé à celui du puceau soumis :