Le fétichisme des crachats

J'ai la chance de travailler avec une collègue sexy, garce et manipulatrice. Maeva trouve toujours différents stratagèmes pour échapper à ses devoirs d'employée. Comprenant aisément qu'elle ne me laisse pas indifférent, elle se permet les choses les plus culottées avec moi. Elle se décharge à loisir de son boulot en échange d'un sourire moqueur complété d'une langue aguicheuse léchant le pourtour de ses lèvres. 

La prenant au jeu, je lui glisse que le patron n'aimerait pas savoir à quel point elle baille aux corneilles avec un si beau salaire.

Elle éclate de rire et me fixe alors sérieusement : "Tu n'oserais jamais. J'ai bien compris que tu étais complétement soumis. Ta place est aux pieds d'une femme comme moi. Et je fais de toi ce que je veux, où je veux, quand je veux sans même avoir besoin de coucher avec toi."

La divine Maeva visait parfaitement juste. Je lui réponds brûlant de désir : "Oui, naturellement. Ma place est à tes pieds et même sous tes crachats."

"MDR, c'est une excellente idée. Ta gueule fera un parfait crachoir. On commence ?!"

Et c'est ainsi que la belle Maeva se permit des choses de plus en plus odieuses, une escalade dans la fainéantise et un véritable esclavage professionnel ! Ses crachats parfumés au tabac, à la chlorophylle et au café m'envahissennt désormais quotidiennement le visage entre ses interminables pauses clopes.