Le fétichisme des crachats

L'autorité médicale suscite un foisonnement de fantasmes médicaux et d'érotisme. Aujourd'hui, je vais être servi. C'est ma visite médicale obligatoire. Le praticien est un homme d'une cinquantaine d'années, d'origine maghrébine, grand, le regard vif et sévère, barbe grise bouclée. Je suis à peine entré dans son cabinet qu'il m'intime l'ordre de me déshabiller. Son autorité masculine sexuelle sur moi est déjà totale. Il me tutoie d'emblée pour marquer la hiérarchie.

-Déshabille-toi complétement ! 

Je n'avais laissé que mon slip. Il poursuit :

-J'ai vu tout de suite que tu étais complétement impressionné et soumis dès que tu es entré. 

-Oui, vous êtes un vrai mâle, charismatique et médecin de surcroît. Le petit puceau que je suis ne peut que s'incliner et subir.

-Tu comprends vite, allonge-toi sur la table d'examen.

Entièrement nu et à sa merci, je lui appartiens totalement. Il me surplombe, me toise et commence par m'administrer une belle paire de gifles. La douleur est vive mais la sensation exquise. Je le remercie, et il poursuit la série de claques sur l'ensemble du corps.

Il s'attarde vers mon sexe dont l'érection naissante trahit ma totale adhésion à cette situation humiliante. Il comprime alors ce sexe soumis avec son poing contre mon ventre en me lançant cette remarque assassine :

-Cette petite bite ne te sert qu'à pisser. Elle n'est pas faite pour les femmes. Imagine le contraste avec la mienne ! Ma queue a connu plein de langues d'étudiantes à la fac, et elle continue à faire le bonheur des plus belles femmes.

-Mon sexe inutile ne mérite que vos crachats d'homme supérieur.

-Ta face aussi !

Sa bouche s'ouvre alors pour me projeter un énorme crachat en pleine poire. L'odeur est intense, le désir aussi. Il poursuit en m'humiliant le sexe avec ses mollards. Derrière ses belles dents un peu jaunies par le tabac, le mâle algérien fabrique des paquets de salive dont il va rapidement m'inonder le corps.

Il me pose ensuite une cage de chasteté, mesure totalement symbolique pour un puceau convaincu mais néanmoins importante dans le processus de servilité envers les hommes supérieurs et leurs femmes. L'érection se heurte aux parois tout en nageant dans la salive du dieu maghrébin.

Un débit de salive torrentiel, un goût prononcé pour l'humiliation, les québecois diffusent une production importante de courts-métrages sur le fétichisme du crachat. Leurs modèles féminins sont toutes plus humiliatrices les unes que les autres !

Julien est un photographe érotique talentueux. Je l'ai rencontré sur un forum. Après m'avoir confié que sa passion était l'art du nu, je me suis proposé pour être l'élément central de ses futures créations. Julien aime imposer sa marque à ses modèles qui deviennent sa propriété derrière l'objectif. Cette manière d'être façonné et modélisé par un artiste-pygmalion me convient à merveille. Il est dans son rôle de dominant, de créateur, et je suis dans mon rôle de soumis.

Lors de notre première séance, il m'ordonne de me déshabiller et de m'étendre nu sur son carelage froid. Après plusieurs clics, il me soumet son premier crachat en pleine gueule. Il peut ainsi capter avec son appareil mon expression d'abandon total à son être. Le beau mâle supérieur me mitraille avec sa bouche et son objectif. Sa salive ruisselle sur mon visage et mon corps.

Soudain, on sonne à la porte. C'est Marine, la copine de Julien, une jolie rousse aux yeux bleus de 24 ans, totalement soumise à son homme. Elle me salue, me sourit et me dit :

"Tu en as de la chance, d'être un des modèles de mon homme."

Elle observe pendant quelques minutes la séance d'humiliation sous les crachats. 

"J'ai souvent droit à ce délicieux traitement quand il me fait l'amour."

Julien lui répond : "Et maintenant, tu vas subir le même sort à côté de lui. Déshabille-toi et allonge-toi à ses côtés. J'ai une idée de duo !"

Elle exécute les volontés de son maître, et s'allonge à côté de mon corps jonché des crachats de notre dieu. Elle est magnifique, son corps est aussi exquis que son visage. Julien se penche et s'approche alors très près, lui saisit fermement le menton et lui balance une rafale de crachats. Elle se tortille de plaisir, un peu comme moi.

Julien nous ordonne une série de positions, en étoile de mer, en croix...pour immortaliser cette soumission extrême.